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Que veux dire nos prénom
15/09/2006 23:45
FRANCOISE
Étymologie : Féminin de François. Il a eu, pendant près de quatre siècles, la même carrière triomphale que François, avant de connaître une période de déclin au début du XXe siècle. Ce purgatoire d'une cinquantaine d'années a été suivi d'un essor prodigieux qui, en 1948, l'a de nouveau amené à la première place du palmarès des prénoms féminins. Depuis les années 1970, ce mouvement s'est inversé et Françoise devient un prénom rare. Il faut noter que Françoise, sous cette forme orthographique, est exclusivement français. Hors de la francophonie c'est un prénom imprononçable et nécessairement traduit d'une autre façon : Ciska, Francesca, Francisca, voire Paquita ou Ziska. Pour franciser la sainte patronne de Françoise, on préfère, en général, Jeanne-Françoise de Chantal à Françoise Romaine, patronne des Francesca.
ARNAUD
Fête : le 10 Février
Étymologie : Arnaud est issu du vieux germanique arn, l'aigle, et wulden, le pouvoir. Son prénom invoque donc le majestueux oiseau de proie, symbole de liberté, d'agressivité et de puissance, le roi des airs. Arnaud a longtemps été, en France, un prénom apprécié des familles aristocratiques et peu répandu dans les autres milieux... Dans les années 1970, il a connu un succès imprévu qui en fait un prénom " à la mode ". Sans prétendre à figurer en tête des palmarès, il reste aujourd'hui assez usité. Au XIIIe siècle, Arnaud Cateano, descendant d'une illustre famille de Padoue (Italie), fut abbé du monastère bénédictin de Sainte-Justine. Son zèle religieux lui valut les persécutions du seigneur local, Ezzelino, sanglant débauché que Dante a placé dans son Enfer. Capturé, Arnaud fut jeté en prison et succomba, en 1255, aux mauvais traitements.
JEROME
Variante : JEROMINE, JERRY
Fête : le 30 Septembre
Étymologie : Issu de l'adjectif grec hieros, sacré, et du substantif onumos, le nom. Ce prénom a un caractère religieux invoquant pour celui qui le porte la protection de Dieu, le nom sacré par excellence. Il fut assez répandu dans les premiers siècles de notre ère puis s'éclipsa longuement pour ne réapparaître qu'au XIIe siècle, en Italie (Geronimo), en Espagne (Jeronimo) et en France principalement, mais aussi en Grande-Bretagne, en Flandres et en Bavière. Régulièrement attribué mais peu fréquent, c'est en France, vers 1950, qu'il a connu une expansion imprévue. Elle l'a amené, de 1970 à 1980, à figurer au palmarès des prénoms masculins entre le cinquième et le huitième rang. Cette faveur est retombée mais Jérôme reste encore attribué fréquemment. Saint Jérôme, né en Dalmatie vers 345, fit de longues études littéraires et théologiques, à Rome d'abord puis à Constantinople. En 382, il devint le secrétaire du pape Damase et se lia à de nombreuses dames de la noblesse romaine auxquelles il enseignait la Bible. À la mort du pape, il se fixa en Terre sainte, non loin de Jérusalem, fonda un monastère et entreprit la première traduction en latin de l'Ancien et du Nouveau Testament : c'est la fameuse Vulgate. Réputé pour son caractère ombrageux et colérique, il mourut en 420 à Bethléem. Il a été proclamé saint patron des traducteurs.
LUDIVINE
Variante : LUDWINE, LYDWINE
Fête : le 14 Avril
Étymologie : Prénom germanique, issu de liut, le peuple, et win, l'ami(e). Il fut, tout au long des siècles, assez fréquent dans le nord de l'Allemagne et dans les Flandres. Resté exceptionnel en France, une saga romanesque adaptée en feuilleton télévisé à grand succès, Les Gens de Mogador, le popularisa brusquement en 1972. Il ouvrit alors, pendant près de vingt ans, une belle carrière à Ludivine, qui ne fut pas loin d'atteindre le palmarès des prénoms féminins. Cette réussite inattendue a permis à Ludivine de s'installer solidement en France. Sainte Ludwine (Ludivine) fut victime, à 15 ans, d'un accident de patinage à Schiedam, en Hollande. Elle ne s'en releva jamais, et pendant plus de trente ans, fut victime de maux effroyables. Contrainte à l'alitement, elle fut alors l'objet de toutes sortes de visions et de miracles. Tout au long de son calvaire, elle conserva un exceptionnel rayonnement, constaté par ses visiteurs. Morte en 1433, le surlendemain de Pâques, en chantant un alleluia, elle fut aussitôt considérée comme une grande sainte. Sa vie a inspiré à J.-K. Huysmans un de ses plus beaux livres.
MADELEINE
Variante : MADDY, MADELINE, MADELON, MADO, MAGDALENA
Fête : le 22 Juillet
Étymologie : Madeleine est à l'origine la transcription d'un adjectif araméen servant à distinguer Marie, une disciple du Christ, de Marie, sa mère. Cette jeune pécheresse repentie était originaire d'un village de Galilée, appelé Magdala ; les Évangiles de Matthieu et de Luc la désignent comme Marie de Magdala ou Marie la Magdaléenne, d'où notre Madeleine. Son nom commença à se répandre à partir du XIVe siècle et connut un grand succès, en particulier en France. Il y fut l'un des prénoms féminins les plus courants aux XVIIIe-XIXe siècles, se classant même au troisième rang du palmarès de 1914 à 1920. La Première Guerre mondiale fit en effet un accueil exceptionnel aux " Madelons ", censées servir à boire aux poilus, comme le proclamait une chanson. Depuis 1920, la carrière de Madeleine s'est faite plus discrète, comme il arrive souvent aux prénoms après une longue période de faveur, mais l'on s'attend à la voir reparaître prochainement. On dénombre plusieurs saintes Madeleine et plusieurs saintes Marie-Madeleine, mais la première, celle de l'Évangile, possède une gloire exceptionnelle : fidèle suivante du Christ, elle assista à sa mort, participa à sa mise au tombeau et fut la première à découvrir, deux jours plus tard, qu'il était vide... Elle fut également la première à le rencontrer après sa résurrection. Une tradition veut qu'elle ait ensuite évangélisé la Provence, où son culte est très important.
HENRI
Variante : HENRY
Fête : le 13 Juillet
Étymologie : Prénom germanique formé de deux substantifs, heim, la maison (au sens féodal du mot : la race, la descendance), et ric, le maître, le chef. Il a eu une glorieuse carrière dans la plupart des pays de l'Europe occidentale, en Allemagne comme en Angleterre, en Espagne et au Portugal comme en France. Les souverains qui l'ont illustré se comptent par dizaines. Il est donc naturel qu'Henri soit resté partout présent depuis dix siècles, connaissant des périodes de grand succès suivies de périodes de reflux. En France, il a figuré au palmarès des prénoms masculins au cours de la seconde partie du XIXe siècle jusque vers 1935. Il a ensuite régressé mais, depuis 1990, reprend de la vigueur, aidé par le tout nouveau Enzo, forme germano-italienne d'Henri. En cumulant Henri et Enzo, on parvient à une bonne performance. On compte huit saints du nom d'Henri. Le patron attribué à l'ensemble des Henri fut un duc de Bavière, appelé en 1002 à succéder à l'empereur germanique Othon III. Époux de Cunégonde, il respectera son vœu de chasteté et consentira, en conséquence, à n'avoir point d'héritiers. Grand défenseur de la chrétienté, protecteur des moines clunisiens, soucieux de l'évangélisation des peuples païens, il mourut en 1024 et sera canonisé par le pape Eugène III en 1146.
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L HISTOIRE DE LA DAME BLANCHE
07/09/2006 13:31
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Les dames blanches, ou grises se matérialisent toujours au même endroit. Elles tirent leur nom de leur vêtement ou de la lumière qui émane d'elles. Leur identité et la raison pour laquelle elles se montrent sont souvent connues des personnes qui les voient fréquemment. Les traits légendaires ou susceptibles d'être "tirés" vers le légendaire se perçoivent clairement. L'apparition se manifeste vers minuit, heure propice aux fantômes. Les lieux d'apparition sont situés près de croisements de routes et de ponts, endroits traditionnellement choisis par les créatures surnaturelles pour se manifester (ces lieux symbolisent un "passage" entre l'Ici-bas et l'Au-delà); enfin, la "femme en blanc" correspond à une figure classique d'être fantastique du folklore européen".
Lire aussi Le témoignage de nos lecteurs
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" C'est alors au tour des passagères de crier : le mystérieux personnage a disparu ! "
Palavas, le 20 mai 1981
Le 20 mai 1981, quatre jeunes montpelliérains âgés de 17 à 25 ans vers 0h30, après s'être promené sur les quais de Palavas et avoir bu un coup, aperçoivent sur le bord de la route, une auto-stoppeuse d'une cinquantaine d'années portant un imperméable ainsi qu'un foulard blancs. Ils lui proposent de l'amener jusqu'à Montpellier. Elle ne répond pas mais opine de la tête, monte à l'arrière, et s'assied entre les deux passagères. La voiture repart. La mystérieuse auto-stoppeuse ne dit toujours pas un mot. Un kilomètre après, elle s'exclame "Attention au virage, attention au virage !". Le conducteur, surpris, lève le pied, et passe le virage sans encombre. C'est alors au tour des passagères de crier : le mystérieux personnage a disparu ! La voiture roule toujours à 90 km/h, les portes fermées... D'abord abasourdis, les quatre amis décident d'aller tout raconter à la police. Qui, après avoir cru à une plaisanterie, se rend sur place, sans rien trouver ! Plusieurs convocations plus tard, la police, comme toutes les personnes qui les interrogent, concluent à la sincérité des jeunes : leurs témoignages ne se contredisent jamais, ils ne s'intéressent pas au spiritisme ni à aucun sujet de ce genre... Enfin, ils évitent tant que possible de parler de cette affaire.
Si l'affaire de Palavas a défrayé la chronique, c'est en raison de l'homogénéité des témoignages des jeunes gens. En attendant, impossible de conclure de manière définitive sur ce cas. Le mystère reste entier...
Sources : La Gazette de Montpellier, 21 juillet 1995. Légendes urbaines, rumeurs d'aujourd'hui , Jean-Bruno Renard et Véronique Campion-Vincent. Documents Payot. Rumeurs. Jean-Noël Kapferer. Points actuels, 1990.
Internet : http://www.zetetique.ldh.org/palavas.htm
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... Et le voyage se poursuivait toujours sans dommage. Arrivés à bon port, ils ne pouvaient que constater la disparition de la Dame ..
Légende Briançonnaise
La légende se situe en hiver sur la route du col du Lautaret. L'histoire raconte l'étrange aventure survenue à de nombreuses personnes au coeur de la nuit et de la tourmente : alors qu'elles étaient concentrées sur la conduite de leur véhicule, une incroyable apparition les surprenait au détour d'un virage : une dame vêtue d'une robe et d'un châle dont la blancheur immaculée rappelait celle de la neige, faisait de l'auto-stop appuyée contre une paroi glacée.Troublés et peinés par l'apparent dénuement de cet étrange fantôme, nombreux sont ceux qui lui offraient l'hospitalité dans la réconfortante chaleur de leur voiture.Son visage était entièrement dissimulé par son châle et toutes les tentatives de conversation s'avéraient vaines : le curieux personnage gardait obstinément le silence ... Les automobilistes reprenaient alors leur conduite et la nécessité de se concentrer leur faisait momentanément oublier leur passagère ...
Et le voyage se poursuivait toujours sans dommage. Arrivés à bon port, ils ne pouvaient que constater la disparition de la Dame ...Dans les auberges de la région, on raconte que la Dame Blanche du Lautaret protège les automobilistes qui la prennent à leur bord. Quant à ceux qui l'ignorent, leur voyage se poursuit au péril de leur vie. On raconte aussi que certains ont été internés en asile psychiatrique, à Laragne, pour avoir relaté cette histoire ...
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Mathilde enfila sa robe blanche et sans hésiter un seul instant, elle ouvrit tout grand les bras et se laissa glisser dans la chute. On ne la revit plus jamais.
La dame blanche de Montmorency (1759) - Canada
Main dans la main, Mathilde et Louis marchaient au bord de la rivière Montmorency dont ils connaissaient tous les méandres. Après les durs travaux du jour, ils se rendaient parfois jusqu'en haut du grand sault, là où on voit toute l'île d'Orléans qui ressemble à un gros poisson couché au milieu du fleuve. Ils faisaient mille projets et leur coeur débordait d'amour. Mathilde refusait de décrire la robe blanche qu'elle avait cousue pour le grand jour. Louis ne la verrait que le matin des noces !
Voici qu'un matin de juillet, dans toutes les paroisses de la côte, les curés avaient réuni les familles et lancé :
- Partez ! Emmenez bêtes et provisions ! Terrez-vous au fond des bois ! Les Anglais sont là ! Seuls demeuraient sur les bords du fleuve Saint-Laurent les hommes, jeunes et vieux, qui s'étaient engagés dans les milices pour défendre leurs biens jusqu'au dernier souffle. Non, les Anglais venant de l'ouest ne franchiraient pas la rivière ! Mathilde Robin aurait bien voulu camper avec les miliciens. Elle aurait tout accepté pour être auprès de Louis ! Mais la guerre est l'affaire des hommes, elle le savait. Réfugiée dans les bois avec sa famille, elle languissait. À chaque fois qu'arrivait un nouveau venu parmi les tentes, elle posait toujours la même question : - Avez-vous vu Louis Tessier ? Sa compagnie est-elle sur les battures Puis, un jour, un milicien arriva avec quelques Indiens et un blessé qu'il confia aux femmes. - Les Habits rouges ont attaqué les redoutes, dit-il, hors d'haleine, et ils ont tenté de gravir les falaises et de franchir les gués. Mais nos troupes les attendaient derrière les fascines et elles ont empêché leur avance. La bataille de Montmorency se terminait par une brillante victoire des Français. Dans le bois, tout le monde attendait des nouvelles. Quelques soldats et miliciens essoufflés et trempés vinrent rassurer leurs parents. Mathilde eut beau attendre et attendre encore, Louis ne vint pas au campement dans le bois. Alors, n'y tenant plus, elle quitta les autres sous la pluie et se dirigea en hâte vers la rivière. Elle se mit à courir sur les rochers sans se soucier des ronces qui déchiraient son mantelet et son jupon . Bientôt elle arriva au premier gué. Louis Tessier ? Non, il n'était pas là. À l'autre gué, peut-être. Mathilde, haletante, continua son chemin. Au deuxième gué, on n'avait pas vu Louis. Mathilde repartit, mais là aussi, elle fut déçu, il n'était pas au troisième gué. « Il a peut-être tenté d'aller à la ferme », se dit-elle. Elle se précipita sur le sentier qui menait aux habitations. Et cette fois encore, elle ne trouva personne. Mais elle fut saisie de crainte en voyant flamber autour d'elle des granges et des maisons. Elle comprit que les Anglais avaient incendié les fermes et les granges. Elle courut à perdre haleine vers sa maison encore intacte. Elle ouvrit la porte et appela : - Louis ! Seul le silence lui répondit. Mathilde réussit à se guider dans la noirceur. À tâtons, elle ouvrit l'armoire et repéra sa robe blanche. Elle la saisit et la serra contre elle. Puis elle se dépêcha de ressortir. Elle poursuivait sa quête en répétant le nom de l'aimé. Elle arriva enfin en amont de la grande chute ; elle vit des gens et entendit des appels. - Mathilde ! Oh ! Mathilde ! Folle d'espoir elle alla vers les voix qui montaient dans la nuit. En la voyant, les miliciens s'écartèrent et firent silence. Il était là, son Louis : il reposait sur la rive dans ses habits familiers. Mathilde l'appela doucement, attendant qu'il se lève et qu'il accoure vers elle. Mais Louis restait couché et ne donnait aucun signe de vie. Alors, elle comprit qu'elle arrivait trop tard. Elle se jeta sur son corps en hurlant sa douleur. Au bout d'un moment, elle sécha ses larmes et s'enfuit. Guidée par le bruit grandissant de l'eau qui se précipitait vers le fleuve, elle arriva juste en haut, au bord du rocher. C'était là où tant de fois elle s'était tenue avec Louis, là où toute la rivière, d'un geste majestueux, bascule dans le vide. Mathilde enfila sa robe blanche et sans hésiter un seul instant, elle ouvrit tout grand les bras et se laissa glisser dans la chute. On ne la revit plus jamais. Encore aujourd'hui, pendant les belles soirées d'automne, juste à la fin du jour, les gens de l'île d'Orléans racontent qu'ils peuvent voir distinctement une jeune femme toute vêtue de blanc errer au pied du grand sault de Montmorency. C'est le fantôme de Mathilde Robin qui, les soirs de lune, semble chercher encore dans les bouillons de la chute le corps de son bien-aimé. Et le vent apporte parfois sa plainte jusqu'à Saint-Pierre ou Sainte-Pétronille. Alors, les gens s'arrêtent et disent : - La voilà. C'est Mathilde Robin, la dame blanche.
Ce récit est adapté d'une légende orale qui circule encore sur la côte de Beaupré. La bataille à laquelle on fait référence est celle de Montmorency, qui précéda de quelques mois celle dite des « Plaines d'Abraham » (1759) où les Anglais conquirent, après tant d'efforts, la Nouvelle-France.
www.contes.net
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Ainsi, depuis plus de deux siècles, une dame blance hante régulièrement les landes qui entourent le château de Trecesson.
Légende bretonne ou fait divers ?
Le château de Trecesson, près de Paimpont, fut bâti à la fin du 15ème siècle par Jean de Trecesson. En 1750, un braconnier aurait vu, pendant la nuit, des jeunes gens masqués descendre d'un carrosse avec une femme vêtue de blanc et l' enterrer vivante dans une fosse à proximité du château. Le braconnier qui ne s'était pas manifesté se présenta le lendemain au château prévenir Monsieur de Trecesson. Ce dernier fît ouvrir la fosse et apparut une forme humaine. La dame qui vivait encore se leva et poussa un hurlement. Puis, elle rendit le dernier souffle. Son identité restera un mystère pour l'éternité.
Ainsi, depuis plus de deux siècles, une dame blance hante régulièrement les landes qui entourent le château de Trecesson.
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" ... Et c'est sur la tombe même de la jeune femme qu'il retrouva sa veste... "
Rumeur réunionnaise
Entre rumeur et histoire véridique dont un journaliste aurait été la victime malgré lui.
Cet l'homme s'était arrêté de nuit sur la route en corniche pour prendre en stop une jeune femme. La pauvre grelottait de froid, alors il lui offrit galamment sa veste. Il la déposa chez elle et s'en retourna chez lui sans autre problème. Ce n'est que le lendemain qu'il se souvint avoir oublié sa veste. Il retourna donc chez la jeune femme, où il trouva porte close.
Des voisins lui apprirent que la jeune femme était morte des années auparavant, dix ans juste ce soir là, dans un terrible accident de voiture, justement à l'endroit où il l'avait prise en stop. Bouleversé, il se rendit au cimetière pour vérifier ce qu'on lui avait raconté. Et c'est sur la tombe même de la jeune femme qu'il retrouva sa veste...
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Biographie Serial killer Kenneth McDuff
30/08/2006 22:19
Kenneth McDuff
Écrit par Aimee Massey
Kenneth Allen McDuff est un du détesté et reviled des noms dans l'histoire de criminel du Texas. Souvent appelé « le garçon d'affiche de la punition capitale, » il est le seul homme dans l'histoire des USA à condamner à la mort, être libéré du quartier des condamnés à mort et être puis condamné à la mort encore et être exécuté pour un crime différent.
McDuff a été soutenu en 1946 dans Rosebud, une petite ville dans le Texas central. Dès l'abord il a montré le comportement antisocial et avait souvent des ennuis à l'école. Il était un despote confirmé, essayant toujours d'intimider des étudiants plus faibles, mais il était également un lâche et dégagerait si une victime ne montrait aucune crainte et battait en retraite. Les efforts de ses professeurs de discipliner McDuff ont été entravés par sa mère Addie, une femme autoritaire et dominante qui ont immuablement refusé de croire que son fils pourrait jamais faire n'importe quoi mauvais. La vue tordue d'Addie de son fils persisterait jusqu'à la fin.
McDuff laissé tomber hors du lycée dès l'abord et est allé fonctionner avec son béton se renversant de John Allen (J.a) de père. Quand il ne travaillait pas il était dehors buvant, combattant, womanizing et emballant autour dans une succession des voitures, qu'il a par la suite détruites. Il était également dans le cambriolage, et en 1965 il a été envoyé à la prison sur 14 comptes séparés de elle. Il était releasd après moins qu'une année et n'avait pas clairement appris la leçon.
McDuff n'a eu aucun vrai ami, étant presque universellement détesté et craint par des personnes dans Rosebud, mais il a eu quelques hangers-on, la plupart du temps les jeunes hommes qui ont été impressionnés par ses histoires grandioses et qui n'étaient pas particulièrement intelligents. Un de ces derniers était des 18 verts de vallée de Roy appelés par ans. Le 6 août 1966, McDuff et vert conduisaient amilessly autour du Texas central, de même que leur habitude. Dans la banlieue de Forth Worth d'Everman, ils ont repèré une voiture garée à un diamon de base-ball. Le vert a réclamé plus tard qu'il a pensé que lui et McDuff allaient seulement harceler et effrayer les personnes dans la voiture, mais McDuff a évidemment eu d'autres idées. Dans la voiture était la marque de Robert, 17 ; sa amie, Edna Louise Sullivan, 16 ; et le cousin de la marque, Marcus Dunnam, 15. Ils prenaient une coupure après avoir donné des leçons de Louise sur le stationnement parallèle.
McDuff et vert ont approché la voiture, ont commandé chacun des trois dehors et les ont enlevés, fermant les garçons et la fille dans les troncs des deux voitures. Le vert a conduit un voiture et McDuff l'autre, portant leurs captifs à un secteur reculé où McDuff a tiré le blanc de point de garçons dans la tête tandis qu'ils se mettaient à genoux dans le tronc priant pendant leurs vies. Après, Louise Sullivan a été violé plusieurs fois par les deux hommes, et également avec la poignée cassée d'un manche à balai. Après cela, elle a été incitée pour se mettre à genoux avec sa tête sur la terre tandis que le vert retenait la sa et McDuff l'étranglait lentement en serrant le manche à balai à travers sa gorge. Le jour suivant, verdir entendu parler du crime sur la radio et a décomposé et a admis, et lui et McDuff ont été arrêtés. Le vert a reçu une peu de phrase en échange du témoignage contre son associé. McDuff insisté pour prendre le stand et n'a pas impressionné le jury du tout. Il a été condamné pour mourir pour le meurtre de la marque de Robert.
La phrase de mort a été retournée quand la cour suprême des USA a supprimé la punition capitale en 1972, et au temps à peu près identique, le cas de Ruiz contre le Texas attirait l'attention sur des conditions pauvres et la surchargeait dans des prisons du Texas. En raison des réformes résultant de ce cas, à peine n'importe quel prisonnier servait dehors sa pleine phrase. McDuff a été condamné du corruption, un crime, alors qu'en prison après qu'il ait offert un membre du conseil de liberté conditionnelle $10000 pour un dégagement tôt. Mais même ceci ne l'a pas arrêté de la liberté conditionnelle de gain en octobre de 1989. Trois jours plus tard, le corps de Sarafia Parker a été trouvé. Tandis que McDuff jamais était officiellement relié à sa mort, on pense qu'elle est sa victime.
Tandis que sur la liberté conditionnelle McDuff fait aucune tentative de le feindre même avait été reformé. Il était convited de faire des menaces terroristes après essai de sélectionner un combat avec un groupe d'adolescents noirs, et également pour DUI et ivresse publique. Il est devenu intoxiqué pour fendre la cocaïne et a passé la majeure partie de son temps traînant avec des personnes sur les franges mêmes de la société. Quoiqu'il ait été inscrit à l'institut technique d'état du Texas où il étudiait pour être un machiniste, il a passé la majeure partie de son temps devenant haut et ivre, sélectionnant vers le haut des prostituées et regaling ses hangers-on avec des comptes embellis de ses exploits. Il a parlé d'une manière obsédante au sujet d'obtenir les pistolets avec lesquels voler et tuer des marchands de fente, mais avec son entourage ont juste balayé outre de la vantardise comme entretien de bière. Il n'était pas.
En octobre de 1991, la voiture de McDuff a couru un barrage de route dans Waco. Maintenir l'ordre et d'autres témoins ont observé une femme dans le siège de passager, elle des mains derrière elle, apparemment essayant de donner un coup de pied dehors le pare-brise. Pour des raisons inconnues, la voiture n'a pas été arrêtée et la femme, plus tard identifiée pendant qu'une prostituée de 37 ans appelait Brenda Thompson, n'était jamais vivante vu encore. Juste quelques jours plus tard, une autre prostituée, 22 ans Reginia « Gina » Moore, disparu sans trace. Le 29 décembre 1991, McDuff et toute la vie un écheveau WOrley d'Alva appelé par alcoolique conduisaient autour d'Austin le Texas recherchant des drogues. Worley témoignerait plus tard que McDuff plusieurs fois a précisé les femmes attirantes et a impliqué qu'il voudrait « les prennent. » Par la suite elles ont repèré le roseau de Colleen, un comptable de 28 ans, le lavage de son Mazda noir à Washington McDuff de voiture l'a saisie et l'a forcée dans leur voiture. Les témoins l'ont entendue les cris perçants et la police appelée mais il était trop tard. Le roseau a été chassé de la ville et violé par les deux hommes. Worley a indiqué plus tard que par la suite elle a essayé de résister à McDuff, probablement en le mordant, et que McDuff a frappé la sa ainsi Worley dur a pensé il a entendu que rupture et roseau d'os ont semblé être sans connaissance ou morts. Worley a été laissé tomber au loin peu après ce et McDuff a eu le corps.
McDuff avait brièvement tenu un travail à un marché de Quik-Pak près du campus de TSTI dans Waco, et a été appareillé avec un employé plus aîné appelé Aaron Northrup. 22 ans de mélisse de l'épouse de Northrup ont également fonctionné au magasin, et McDuff lui a évidemment pris aimer. Il a dit à plusieurs amis qu'il a voulu voler le magasin et « prendre » la fille qui a travaillé le poste de nuit là. Encore, personne ne l'a pris au sérieux. Le 1er mars 1992, Aaron Northrup est devenu intéressé quand la mélisse n'est pas retournée à la maison de son décalage chez le Quik-Pak, et une recherche de police a été lancée. La voiture de McDuff a été trouvée près du magasin, et la voiture de Northrup a été située dans un secteur boisé dans le comté de Dallas. Les comptes de témoin oculaire ont placé McDuff dans le domaine de l'abduction et également à l'emplacement d'où le roseau de Colleen a été enlevé.
Un mois plus tard, un pêcheur a trouvé le corps de Northrup de mélisse dans un puits de gravier près où sa voiture avait été récupérée. Elle avait été main et pied liés et avait probablement étranglé. Elle était de deux mois d'enceinte. Au temps à peu près identique, un ouvrier sur sa pause de midi a trouvé un corps mal décomposé dans les bois près de la propriété de TSTI. Elle était une prostituée appelée Valencia Kay Joshua, bout de who'd vu en février sur le campus, recherchant la pièce du dortoir de McDuff.
À ce jour, McDuff était hors du Texas. Il n'a jamais indiqué comment il pouvait obtenir une nouvelle identification de voiture et d'article truqué, mais il était alors à Kansas City, Missouri, fonctionnant comme collecteur d'ordures. Les gardes forestiers de Texas et les maréchaux des USA ont commencé la chasse il dans sérieux après que le corps de Northrup de mélisse ait été trouvé, et le 1er mai 1992, il a été profilé sur « Americ le plus voulu. » Juste un jour plus tard, police contactée par collègue pour le dire a su où le fugitif était. Le camion d'ordures a été tiré plus de pendant sa course régulière et McDuff est ainsi devenu la capture réussie d'AMW 208th.
McDuff s'est tenu d'essai d'abord dans le cas de Northrup. Il était disruptif et désagréable devant le tribunal, essayé d'agir en tant que son propre avocat, et pourrait ne jamais faire un exposé satisfaisant à lui où la nuit la jeune femme a été tuée. Il a été condamné pour mourir pour son meurtre, et puis tenu d'essai pour le meurtre tubulaire, quoique son corps n'ait pas été trouvé. McDuff était bien plus disruptif pendant cette épreuve qu'il avait été avant, probablement parce que le juge était noir et McDuff était un bigot classique. Il a été condamné du massacre du roseau sur la base des comptes forts de témoin oculaire de preuve indirecte, du témoignage de Worley et de cinq des poils du roseau trouvés dans sa voiture. Il a reçu une deuxième phrase de mort.
Après que l'arrestation de McDuff, le Texas ait lancé une révision massive de son système pénitentiaire à l'essai et s'assure que personne comme lui jamais n'a gagné la liberté conditionnelle tôt encore. Les règles serrées de liberté conditionnelle, les projets de prsion-bâtiment et la surveillance améliorée des libérés sur parole sont collectivement connus dans le Texas comme lois de McDuff. Seulement en automne de 1998, pendant que sa date avec le bourreau dessinait plus étroitement, a fait McDuff indiquent l'endroit de Reginia Moore et de Brenda Thompson. Quand ses directions ne produisent pas les restes du roseau, il ont été prises hors de la prison sous la sécurité serrée et encore le secret plus serré et conduites à l'endroit où il avait dit il a eu le roseau gauche. Il a fourni un ensemble de directions plus détaillé et les restes du roseau ont été rapidement trouvés.
Le temps de McDuff s'est épuisé finalement le 17 novembre 1998. Juste aprés six P.M. il a été mis à la mort par l'injection mortelle dans la prison d'Huntsville. La justice avait été servie, 32 ans trop d'en retard.
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